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3 novembre 2013

Message d'acueil

Bonjour et bienvenue sur ce blog !


Cet espace se veut être un lieu d'échanges et d'informations.
Ce blog est interactif; Vous êtes donc cordialement invités à laisser des commentaires sur nos publications et propositions.
Vous pouvez également recevoir de manière automatique nos publications en vous inscrivant à la newslettrer.
Nous vous donnons des informations généralistes sur notre commune pour le moment et ne tarderons pas à vous proposer notre programme.
A bientôt....
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Commentaires
P
J'adhère à cet argumentaire et permettez moi d'ajouter :<br /> <br /> La loi PEILLON est une loi qui peut être louable( au prim abord) dans l'intérêt de l'enfant mais c'est le contraire qui se et va se produire. Cela va engendrer une inégalité entre les communes " grosses" et petites ", ces dernières n'auront pas les moyens de mettre en place les TAP.<br /> <br /> Négligeons pas le transfert des charges de l'Etat sur nos communes, de l'inégalité de celles-ci car au final ce seront bien NOS IMPOTS qui devront régler la note. <br /> <br /> Refuser cette loi n'est pas utopique dans la mesure où une concertation générale avec une consultation référendaire est souhaitable ! Faut- il prendre le temps nécessaire, d'y voir ce qui est bien chez nos voisins européens.<br /> <br /> Y aurait-il deux écoles : publique où l'on a obligation d'appliquer le loi et le privé qui ne l'est pas !! Attention au transfert de l'une vers l'autre des enfants dont les parents seront exaspérés et prêts à payer<br /> <br /> Nos enfants n'auront pas les mêmes chances dans ces TAP.<br /> <br /> Il est URGENT de ne rien faire et de se remettre autour d'une table avec tous les partenaires avec une consultation préalable LOCALE en milieu rurale comme urbain.<br /> <br /> Accepter cette réforme est une discrimination.<br /> <br /> Chaque ministre veut inscrire SA LOI mais le bien être de nos ENFANTS passe par une réelle réforme en profondeur :<br /> <br /> - rythmes scolaires et rythmes physiologiques<br /> <br /> - articulations journaliers des programmes<br /> <br /> - allègement des programmes actuels en enlevant tout le surplus ajouté depuis des années<br /> <br /> - redonner du sens au civisme tant au niveau des parents que dans l'école, de se retrancher derrière le quota " enfants / enseignants si on veut l'intégration de tous et d'avoir moins d'illétrisme précoce dès l'entrée en 6ème<br /> <br /> - tenir compte de l'évolution de notre société sans tomber dans l'excès de l'individualiste<br /> <br /> - Arrêter de faire semblant de dire " on fait une réforme pour tout ministre qui passe pour qu'il est son nom dans la postérité<br /> <br /> - arrêter le lobbing du corps enseignant surtout des syndicats mais écouter la base des enseignants proche des réalités quotidiennes<br /> <br /> - arrêter de sombrer dans la fatalité " on ne peut pas on ne pourra rien faire ..."<br /> <br /> Justement une Nation a besoin de tout le corps enseignant en lui redonnant sa place d'antan " sans excès toutefois"; de parents responsables de l'éducation de leur chérubins<br /> <br /> Une NATION d'AVENIR a besoin d'une VERITABLE EVOLUTION DURABLE <br /> <br /> A quand des politiques responsables , des citoyens lucides non égoistes....<br /> <br /> A quand un vrai DEBAT sans calcul politique etc..........MAIS des VRAIS ENJEUX pour notre pays et nos enfants !!
J
LA REFORME DES RYTHMES SCOLAIRES<br /> <br /> <br /> <br /> La réforme des rythmes scolaires de Vincent Peillon est une réforme imposée en 2013, qui a demandé aux Collectivités de prendre, en quelques semaines, des décisions hâtives (rentrée 2013) et, surtout avant 2014, conformément au Décret d’application du 24 janvier 2013 relatif à l’organisation du temps scolaire dans les écoles maternelles et élémentaires.<br /> <br /> Aucun jugement ne peut-être porté sur le fondement de cette réforme car il appartient aux pédagogues et aux parents de se prononcer, mais plutôt sur la forme qui donne l’impression d’une réforme passée en force, sans réelle concertation.<br /> <br /> C’est une décision précipitée ! Les rythmes scolaires n’ont pas d’impact sur la lutte contre l’échec scolaire. En 2013, 20 % des Collectivités ont adopté la réforme mais il n’y a pas assez de recul sur les résultats attendus.<br /> <br /> Aujourd’hui, on peut parler d’école à deux vitesses car les ateliers mis en place n’ont pas tous le même sens d’intérêt compte tenu du budget de chaque Ville et pourtant, l’Education Nationale impose un positionnement avant le 30 novembre de cette année.<br /> <br /> Que les choses soient claires : « les rythmes scolaires sont une problématique récurrente, un débat intéressant. Soit ! Mais en rien, une priorité nationale à imposer uniformément à des Maires qui subissent de plein fouet le ras-le-bol fiscal de leurs administrés ». Et le Gouvernement a, en même temps, voté une baisse de la « dotation globale de fonctionnement » aux Collectivités de 1,5 milliard d’euros, dans le budget 2014.<br /> <br /> Une fois de plus, un front se crée pour dénoncer cette réforme. La solidarité autour de la réforme des rythmes scolaires se fissure à gauche – A Chambly (60), le Maire PS invite le Ministre de l’Education nationale à venir constater « les difficultés » d’application de la réforme des rythmes scolaires - Aussi, plusieurs Maires du Pas-de-Calais y sont contre et des motions ont d’ailleurs été signées pour dire « non ! ».<br /> <br /> Tout se fait dans la précipitation.<br /> <br /> Dans cette réforme, avec les consensus recherchés, on pense plus aux enseignants, aux Collectivités, aux parents qu’aux enfants eux-mêmes. <br /> <br /> L’heure est à la réflexion sur ce qui se fait le plus et dans environ 90 % des cas : réduire l’après-midi de ¾ d’heure, instauré l’école le mercredi matin et optimiser le Temps d’Activités Périscolaires (culturels, sportifs, artistiques…) organisé par les Collectivités.<br /> <br /> A Wasquehal (59), la solution du travail le samedi matin ne fonctionne pas, le taux d’absentéisme n’a jamais été aussi élevé. A Saint-Omer (62), on a décidé de fini 1H30 plus tôt sur deux jours et de faire deux journées pleines. L’Inspection de l’Education Nationale souhaite qu’il y ait une uniformisation au niveau des décisions prises dans les circonscriptions.<br /> <br /> UNE REFORME POLITIQUE ! Au nom d’une stratégie de com’, un Gouvernement qui n’a que le mot « égalité » à la bouche, met en place l’une des réformes les plus inégalitaires de l’histoire de l’enseignement public.
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